Une femme meurt dans la maison de retraite – puis l’infirmière trouve une note qui fait pleurer le monde entier

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Les maisons de retraite sont rempli des es milliers de personnes âgées. Beaucoup attendent avec impatience un appel téléphonique ou la visite d’un membre de leur famille. Mais la plupart du temps, on est trop occupés pour prendre le temps qu’il faudrait pour visiter nos personnes âgées.
Ceci est l’histoire d’une femme âgée qui vivait dans une maison de retraite. Le personnel la vit comme une autre vieille dame frêle et grincheuse, en attendant de rendre son dernier souffle.
Mais après qu’elle soit décédée, le personnel de la maison a découvert quelque chose plutôt inattendue – et qui les a tous fait pleurer. Dans la table de nuit de la femme décédée, ils ont découvert ce poème sur un morceau de papier soigneusement plié:


Regarde moi
Que vois-tu, toi qui me soignes, que vois-tu?
Quand tu me regardes, que penses-tu?< Une vieille femme grincheuse, un peu folle, le regard perdu, qui bave quand elle mange et ne répond jamais quand tu dis d'une voix forte « essayez » et qui semble ne prêter aucune attention à ce qu'elle fait... Qui docile ou non, te laisse faire à ta guise, le bain et les repas pour occuper la longue journée. C'est ça que tu penses, c'est ça que tu vois?
Alors ouvre les yeux, ce n’est pas moi.
Je vais te dire qui je suis, assise là, tranquille,
me déplaçant à ton ordre, mangeant quand tu veux…
je suis la dernière de dix enfants, avec un père, une mère;
des frères, des sœurs qui s’aiment entre eux…
Une jeune fille de seize ans, des ailes aux pieds,
rêvant que bientôt elle rencontrera un fiancé…
Déjà vingt ans, mon cœur bondit de joie
au souvenir des vœux que j’ai fait ce jour-là.
J’ai vingt-cinq ans maintenant et un enfant à moi,
qui a besoin de moi, pour lui construire une maison…
Une femme de trente ans, mon enfant grandit vite;
nous sommes liés l’un à l’autre par des liens qui dureront…
Quarante ans, bientôt il ne sera plus là,
mais mon homme est à mes cotés et veille sur moi.
Cinquante ans, à nouveau jouent autour de moi des bébés.
Nous revoilà avec des enfants, moi et mon bien-aimé.
Voici les jours noirs, mon mari meurt.
Je regarde vers le futur en frémissant de peur
car mes enfants sont très occupés pour élever les leurs
et je pense aux années et à l’amour que j’ai connus.
Je suis vieille maintenant et la vie est cruelle et
elle s’amuse à faire passer la vieille pour folle.
Mon corps s’en va.
Grâce et forme m’abandonnent.
Et il y a une pierre là où jadis il y avait un cœur.
Mais dans cette vieille carcasse, la jeune fille demeure.
Le vieux cœur se gonfle sans relâche.
Je me souviens des joies et des peines.
Et à nouveau je revis ma vie et j’aime …
Je repense aux années trop courtes et trop vite passées
et accepte cette réalité implacable.
Alors, ouvre les yeux, toi qui me regarde et qui me soigne.
Ce n’est pas la vieille femme grincheuse que tu vois…
Regarde mieux et tu verras…
S’il vous plaît partagez ce poème avec toutes vos connaissances, de sorte que tout le monde ait une chance de lire ces mots.
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